quoi penser ?

Ce chauffard n'est-il que le reflet de notre société qui nous donne l'impression que tout va à vau-l'eau ?

Mickey Brouillon a écrit:C'est clair qu'à la lecture de l'article,on peut se poser certaine question.
Mais avant de juger... Pour ma part j'ai rien vu,j'étais pas présent.
Je n'ai aucune idée des constatations faites par la GND ou la Police.
Donc sans aucun élément peut ont juger l'auteur et les faits !
Qu'est ce qui c'est réellement passé avant l'accident,une minute avant,une heure avant ? Pourquoi se gars roulait à tombeau ouvert ; de plus en ayant consommé de l'alcool. Qu'est ce qui a bien pu pousser se gars à ce point de non retour ; à endeuiller une famille et par la même occasion ruiner sa vie.
…

dom07 a écrit:Vous avez certainement raison Marrakech et Raffsniper a propos de nous et le regard de notre société et l'article ne nous dis peu être pas tout et il est clair que tous autant que nous somme avons un jour franchi la ligne.
Mais ce que j'ai du mal a comprendre c'est qu'a l'heure du tout répressif pour la sécurité routière nous en arrivions a cela, il y a un mort quand même. Alors d'accord il y a une lois qui dis que ....tant mieux pour lui y a une lois et un avocat.
Qui est ce qui l’empêchera de la récidive, qui l’empêchera de boire de nouveau des canons, qui l’empêchera de rouler une nouvelle fois a tombeau ouvert la personne qui sera en travers de sa route toi, moi un de nous sur le forum ?

Samuraï a écrit:       


Voilà ce que m'inspire notre justice et je fais la part des choses avec nos FDO qui interpellent des enculés aussi vite relâchés...




Comme dirait l'autre : FTW/FTS

WebMaster a écrit:

Je précise que ce n'est pas de la politique, car toutes les majorités depuis des dizaines d'années ont cette logique mortifère pour la société au final.

 

La Mouette a écrit:nous avons cru en la possible réinsertion et rédemption d'un mec.
en son temps, nous avons quasiment tous participé à essayer de le remettre sur les rails.
au jour d'aujourd'hui, il en est à sa 8eme condamnation, et attend la prochaine...

Carbonne31 a écrit:Appliquer la loi, uniquement appliquer la loi.Tu roules à 95 km/h c'est 45 euros et 1 point, tu tue un gars en roulant bourré en excés de vitesse , si c'est 3 ans ,c'est 3 ans et basta. Mort aux cons.
Les conséquences, il fallait y penser avant.

bmando a écrit:tant que nos dirigeants seront laxistes

• Elle dispose que « la Souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum » (art. 3). Elle pose le principe de la République comme étant le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » (art. 2).
  

• Le vote est l’expression de la souveraineté. La Constitution prévoit que « le suffrage peut être direct ou indirect » et qu’il est « toujours universel, égal et secret » (art. 3).
  

• Ces principes font du peuple la seule source du pouvoir. Exercé en son nom, ce principe n’a de légitimité que parce qu’il résulte de sa volonté exprimée dans le cadre du suffrage universel.
  

• La politique, Coluche, album Coluche : l’intégrale, vol. 3, 1989 chez Carrère.
  
  

Raffsniper a écrit:Nous n'avons pas à prendre nos politiques comme modèle, on le sait depuis bien longtemps. Je ne les ai pas attendu pour élever mes enfants comme je le veux, leur transmettre des valeurs qui sont contraire à ce que montrent nos politiques. Mais notre France est à nous, au peuple. Notre Histoire a déjà montré que notre peuple pouvait être fort et se révolter. N'oublions pas que : la République et son gouvernement appartiennent au peuple, par le peuple et pour le peuple.

Piqûre de rappel :

La Constitution définit les principes fondamentaux de la souveraineté nationale dès son titre 1er, ce qui en souligne l’importance.

• Elle dispose que « la Souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum » (art. 3). Elle pose le principe de la République comme étant le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » (art. 2).
  

La Constitution rappelle par ailleurs que la souveraineté est une et indivisible, puisqu’« aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice » (art. 3).
Cette conception de la souveraineté fondée sur l’unité et l’indivisibilité s’oppose à une organisation fédérale de l’État, qui fait coexister en son sein plusieurs entités souveraines.

• Le vote est l’expression de la souveraineté. La Constitution prévoit que « le suffrage peut être direct ou indirect » et qu’il est « toujours universel, égal et secret » (art. 3).
  

Le rôle des partis et groupements politiques, dans la formation démocratique de l’opinion et dans le fonctionnement des institutions, est aussi expressément reconnu. Ils « concourent à l’expression du suffrage » (art. 4). Leur rôle a été conforté avec la révision de juillet 2008 qui complète l’article 4 en mentionnant leur participation à la vie démocratique de la Nation.

• Ces principes font du peuple la seule source du pouvoir. Exercé en son nom, ce principe n’a de légitimité que parce qu’il résulte de sa volonté exprimée dans le cadre du suffrage universel.
  

Les différents pouvoirs définis par la Constitution dérivent de la souveraineté détenue par le peuple constitué en un corps politique, la Nation. Le président de la République et l’Assemblée nationale apparaissent comme les dépositaires de cette souveraineté nationale, puisqu’ils sont tous deux élus au suffrage universel direct.
Le peuple peut par ailleurs exprimer directement sa volonté dans le cadre des référendums, qui peuvent porter sur certains projets de loi ou sur les révisions constitutionnelles.