Plaisir coupable... FXDR

C'est vraiment spécial avec ce guidon.

Ce guidon a aussi convaincu un Australien...
... Voici le teaser de l'essai de ce FXDR en stage 7 (sic) et 128ci !!!
Beaucoup de bla-bla (Ferrari, humour & accent Aussie en prime), jusqu'à 15:00. 



Suite au prochain épisode...

Le guidon est un peu moins ridicule.... Pour moi y a que le blouson en cuir de bien 

Attends de voir les roulages, médisant  

Ayé !!
FXDR en 128 & stage 7 : la seconde partie de la vidéo : c'est top !!!!!
Vraiment excellent !

..."the goal today is to not fucking die"...!!

Elle claque ! Et il y a vraiment un bruit démentiel avec ce pot !
C'est quoi la config de la meule ?

je connais le gars, j'ai vu des vidéos de lui, il a traversé l'Australie en RKS...

Simsim a écrit:Elle claque ! Et il y a vraiment un bruit démentiel avec ce pot !
C'est quoi la config de la meule ?

Il l'explique (en Aussie :-) dans le teaser, à partir de 15:30, mais pas assez dans le détail.
Il donne comme seules précisions : kit 128, avec un 475 & nouveaux lifters, et un nouveau corps d'admission.
J'imagine que les injecteurs ont dû y passer aussi.
À peu de choses près, on doit se retrouver dans la config de la bête de Beatnick (sauf le pot).

Mais oui : comme ça donne l'air d'envoyer du gros !!!

Big Al a écrit:je connais le gars, j'ai vu des vidéos de lui, il a traversé l'Australie en RKS...

Oui, il est bon, hein : je ris pas mal avec ses commentaires. Sur certains plans, on sent vraiment le sale gosse (ou le psychopathe    ) !!

ce moteur 114 Milwaukee 8 est vraiment une trés bonne base je trouve ...aprés plus on le  fait évoluer mieu je l apprécie ....

C'est un super moulin. Bridé d'origine (normes antipollution), effectivement encore meilleur libéré !

C'est en rosbif, c'est vrai (mais du vrai rosbif, compréhensible, pas du texan ou de l'aussie), mais c'est un des meilleurs tests du DR, par VisorDown (toujours très bons, je trouve).
Il arrive étonnamment tard, mais ça vaut le coup (surtout pour ceux qu'un essai risquerait de dangereusement déstabiliser  )



Seul point négatif qu'il retient : la position feet first !!...
Le gars avoue qu'il a eu la banane du début à la fin du roulage, et que la maniabilité associée au couple l'ont pété. Exactement ce qui m'a accroché direct au premier essai.

Pour ceux qui seraient intéressés, voici l'article qui l'accompagne aujourd'hui. Toujours de bon niveau, les gars de VisorDown.

https://www.visordown.com/reviews/road-test/harley-davidson-fxdr-review

"You know what, it's 43° out there..."

Allez, juste parce qu'on parle un peu du Japon ces temps-ci, et juste pour le son (je ne sais pas ce qu'il a comme pot, mais c'est du bon ), une ch'tite vidéo du Pays du Soleil Levant...

ahhhh Sushiland 

Félicitation belle machine.
Comment ca elle ressemble a rien la Sport Glide ? 
Je trouve qu'une HD demande qu'a être modifier et ressembler a se que sont propriétaire en fait, ou pas si il la trouve bien comme ca. Comme on dit les goûts et les colleurs 

 

Oui, hein, le son est excellent (pas de vent ou autre parasite), et on sent bien que "c'est un garçon"

Un article indépendant, oublié, qui date de la sortie en France du DR (octobre 18) : FXDR, l'élixir du Diable

https://lesmotosmythologiques.blogspot.com/?view=classic
Texte Stéphane Batlle

Points appréciés : le look (eh oui :-), suspensions, tenue de route et prise de virage, freinage et, bien entendu : le 114 !!
Point noir : tarif (c'était l'ancien, pour les blaireaux qui, comme moi, l'ont acheté avant l'été dernier   )


  Oubliez tout ce que vous croyez, tout ce que vous savez, tout ce que vous avez vécu au guidon d’une Harley. Cette FXDR 114 a le diable au corps ! Mais ce pacte a un prix…

  Freinage, suspension, couple, tenue de route, design, tout est revu, repensé, redéfini par la Motor Compagnie pour fêter son 115ème anniversaire. La plus ancienne marque de moto au monde écrit une nouvelle page de son histoire avec une machine sensationnelle. Doté du fameux « Milwaukee Eight » 114 (soit 1868 cc), on pouvait s’attendre à ce que la bête ait du souffle... Mais c’est une tempête shakespearienne qui s’abat à chaque rotation de la poignée droite dans un tonnerre mécanique à faire pâlir les tambours du Bronx.

Une Reine de Saba.

  Tout était pourtant bien calme en cette belle après-midi d’octobre où l’été offrait ses ultimes rayons de miel pour accompagner, dans leur dernier salto, les feuilles jusqu’au sol. Bref, l’automne quoi… Elle m’attendait là, posée crânement sur sa béquille, avec cette arrogance dans la lentille d’être la fille de… Longue dans sa robe de soirée, elle inspire bien des  promesses. Un liseré rouge souligne son galbe comme un trait de rouge à lèvres. En un mot, elle est belle à tomber. La meilleure façon de se délivrer d’une tentation étant d’y céder, selon Oscar Wilde… je cède!

  Tel un cow-boy de rodéo, je me place avec précaution sur la bête. Quand soudain le portail du toril s’ouvre, me propulsant dans l’arène routière…. sauf que je n’ai pas encore trouvé les étriers. Ah si, là-bas au fond! A l’aplomb du guidon ! Et oui, les reposes pieds se trouvent tout devant, tandis que les mains s’agrippent aux deux demi-guidons en alu reliés chacun à un tube de fourche. Le tout donne au pilote très exactement l’attitude d’un athlète en plein saut en longueur. Voyez l’image : le corps en fer à cheval, les bras tendus au-dessus des pieds, attendant son atterrissage dans le bac à sable. Je n’avais jamais pensé piloter une moto ainsi. Mais admettons.

« Harley soit-il… »

 Si Harley a décidé de revisiter cette année le Kamasutra Motocycliste, ne nous en privons pas ! Ces gens savent de quoi ils parlent, après tout: 115 ans d’expérience, ça cause… Mais le « jouvenceau » que je suis reste dérouté, espérant que la belle trouvera les mots en entrée de courbes…

Alléluia !

  Ce n’est certes pas la mer qui s’entrouvre sous mes roues, mais bel et bien la route qui semble tranchée par ce Drakkar noir qui garde un cap impeccable grâce à ses 34° d’angle de chasse et ses 1738 mm d’empattement. Et, « Oh Miracle ! », décidément, cette Harley est (enfin !) correctement suspendue ! Oui, mes biens chers frères, mes biens chères sœurs, je le crie haut et fort : « C’est la fin des ostéos ! ». (Nous savons tous pertinemment  que l’essor de cette profession doit beaucoup aux harleyistes qui les fréquentent assidûment depuis la création de la marque...). D’abord la selle est savamment dessinée et d’une densité tout à fait accueillante, mais surtout Harley Davidson reprenant autour de ce moteur l’architecture de ses Softails de dernière génération, on retrouve à l’arrière un mono amortisseur -dont la pré-charge hydraulique est facilement réglable au moyen d’une molette déportée sur le côté droite, tandis que le train avant est assuré par une somptueuse fourche Showa inversée de 43 mm (non réglable). Et bien, malgré des débattements très courts – 130 mm à l’avant et 86 mm à l’arrière, la moto travaille avec brio et épargne 80% des ruades au pilote qui ne claque maintenant des dents que suite aux accélérations fulgurantes de la machine ! Et quelles accélérations, mes amis !

« Moteur !...»

  Ahaaaaa… Là, je dis oui, oui, oui. Au démarrage, sa sonorité  prévient qu’il n’est  pas fait pour les timides. Il cogne comme un boxeur qui s’échauffe en douceur. Le palpitant très bas, comme tout sportif de fond : 850 tr/min. Au ralenti, norme Euro 4 oblige, la moto se met d’elle-même –à bonne température, à tourner sur un seul cylindre. La première enclenchée –toujours avec un certain « Klonc» au passage, mais plus feutré me semble-t-il qu’à l’accoutumé, la symphonie pastorale peut enfin commencer…

 Ce moteur est une machine infernale. Une tentation permanente à essorer la poignée et à faire résonner les grandes orgues de Milwaukee. Ah la, la… Il ne lâche rien. Il pousse, il tracte, il arrache, il reprend très bas et vous catapulte très loin et ce, quel que soit le régime moteur ou la vitesse enclenchée. Gare sur le mouillé tout de même car la bête est dépourvue d’anti-patinage ! Cette Harley semble dotée d’une boite automatique tant elle arrache le morceau quel que soit le rapport engagé. Wahouuuuu… Ce moteur est brave, au sens tauromachique du terme! Pour info, en 6ème, la moto ronronne à 1750 tr/min au fameux 80 km/h… et seulement à 2800 tr/mn à 130km/h ! En gros, en sur-ralenti… La drôlesse !

  Pourtant ce Big-twin n’est guère puissant au fond (91 chevaux à 4500 tr/mn), surtout au prorata de sa cylindré colossale (1868cc ). En revanche, il offre la magie de ce que les japonais (pardon pour la référence blasphématoire) appellent le « Kando ».

Quesako le KANDO ?

   Le « Kando » ce n’est ni la vitesse, ni la puissance, ni la cylindrée. C’est « la sensation d’accélération ». C’est cette sensation étrange d’être propulsé dans l’espace, sans aller forcément vite. Comme être bercé par un géant débonnaire. Comme être au creux d’un gant de base-ball au moment de l’envoi. Une chute à l’horizontale. C’est ça, le « Kando ». Et bien cette moto en est l’esprit absolu, surtout entre 1500 et 3000 tr/mn -même si elle peut s’envoler jusqu’à 5700 tr/mn. Et, gros avantage, sans vous propulser à des vitesses fatales pour votre permis. Appréciable par les temps qui courent… Car malgré de copieuses accélérations -qui laissèrent quelques jolies virgules de gommes en sorties de courbes telle une artiste signe sa toile, j’ai été plusieurs fois étonné que ma vitesse instantanée ne dépasse guère les 100, voire 120  kilomètres/heure. Sur autoroute, bien-sûr… Et sur « circuit fermé » -comme de bien entendu, il est possible de pousser la 5 jusqu’à un bon 150/160 km/h sans avoir la sensation de violenter réellement la bête. (Elle atteindrait les 200 km/h en 5ème. La 6ème étant trop démultipliée). Une Harley qui a le Diable au corps vous, dis-je… C’est peut-être pour cela que le R de FXDR est inscrit en rouge sur le tableau de bord ?


  Tiens, parlons-en du tableau de bord…. Ou plutôt ce qu’il en reste. Harley fait dans la miniaturisation cette fois. Il est de la taille d’une carte de visite. Ou plutôt d’une carte de crédit (accessoire indispensable pour accéder à cette marque de luxe. J’y reviendrai en conclusion…). Donc, un tableau de bord ultra minimaliste, sans clef de contact, juste un transpondeur dans la poche du blouson qui  désactivera ou activera l’alarme en s’approchant ou en s’éloignant de la bête. Des commodos de clignotants différenciés (un de chaque côté) et un bouton poussoir sur la gauche fera apparaître alternativement sur le petit écran, en plus du niveau d’essence, la vitesse bien-sûr, mais aussi l’heure, les tr/mn, le kilométrage, l’autonomie restante et les deux trips journaliers. Ah oui ! En haut à droite, le rapport engagé… sauf quand vous débrayez où il disparaît, pour réapparaître après votre choix. A noter une hideuse soudure qui balafre la colonne de direction, cicatrice visible au bas  de la photo ci-dessus. En baissant les yeux, les grincheux pleurnicheront aussi sur un bouchon de réservoir dépourvu de serrure. Mais ils se réjouiront sans doute de découvrir, sous ce dernier, un port USB ! Mais moquons-nous de cet accastillage succinct. Seule compte la route devant afin de se laisser aller au plaisir du couple... tiens, c’est ce même joli mot qui définit aussi deux êtres qui s’unissent ! Mais gare, le premier virage approche.

« … ça tourne ! »

  Miracle ! Elle tourne ! Si, si, si… Et ce n’était pas gagné d’avance, vu la meule de gomme de 240 mm de large qui lui sert de roue arrière ! Soyons bien clair, la FXDR n’est pas une Pocket-bike. Avec ses presque deux mètres cinquante de long, ils l’ont un peu trop étirée aux forceps à la naissance ! Mais le choix de l’aluminium qui a gagné toute la partie arrière (bras oscillant et boucle arrière -dotée d’un petit  rangement) ainsi que celui du plastique au niveau de l’habillage (coque arrière, garde boue avant, flancs) lui permet de gagner en légèreté… et en vivacité ! De plus, ce gargantuesque pneu arrière, nécessaire pour avaler les 160 Nm à 3500tr/mn de la bête, n’engendre pas l’effet « culbuto » tant redouté : c’est à dire refuser de prendre de l’angle ou se redresser de trop à la prise de frein -phénomène épouvantable ressenti hélas au guidon du Fat Boy 2018 doté pourtant d’une base châssis similaire. Non. Ici, le salut vient de cette fourche de bonne facture, et surtout, paradoxalement, de son angle de chasse démesuré ! En effet, la moto se sert de ce point éloigné (la roue avant) comme de la pointe  d’un compas qui fait basculer le reste autour d’elle, coûte que coûte. Comme un long bras de levier. Du coup, l’arrière suit sans broncher. Il suffit de rentrer en virage légèrement au frein arrière, d’y inscrire l’avant et le reste de la machine est physiquement « obligé » de suivre la danse, sans effet de redressement excessif. D’autant que la garde au sol est correcte (140 mm), et que  l'on ne frotte pas si rapidement que cela les repose-pieds, pourtant très avancés. Harley affirme que la moto est capable d’atteindre une inclinaison de 32°, ce qui est très suffisant, même avec un pilotage tonique. De plus, elle est chaussée de pneus Michelin « Scorcher » 11 haute performance qui ventousent la moto au sol. Youpi ! On peut donc tourner, rouler droit, et envoyer du lourd sans se déboîter les vertèbres à chaque imperfection du bitume. C’est déjà pas mal pour une Harley, me direz-vous! Et les freins ?!!

« Boxe !»

  A ma gauche, un V-Twin de 1868 cc gavé de couple, développant sa petite centaine de chevaux, et à ma droite deux disques avant de 300 de diamètre avec 2 étriers fixes à quatre pistons. Egalité! Le moteur propulse dur, mais les freins mordent tout autant ! OUF ! Car, sans être désobligeant, la Belle accuse tout de même 303 kg tout plein fait…  Et à ce titre, l’épaisseur des leviers est très appréciable. Leur importante surface de contact avec les doigts permet un dosage précis et ferme. On les empoigne avec une sensation de sécurité confirmé par un mordant féroce. Alléluia !! La moto se plante dans la route sans se tortiller. C’est propre, clair et net. L’ABS Bosch déclenche tard, même si la route est bosselée. C’est très appréciable car le combat est rude !
 Au chapitre des points qui fâchent un peu, il faut reconnaître qu’il n’est pas toujours facile de faire corps avec cette combattante, justement. D’abord la protubérance plastique surdimensionnée qui maintient le filtre à air et qui lui sert de conduit d’air empêche la jambe droite de venir se plaquer au réservoir (en acier). Et si vous reculez votre pied droit, c’est le silencieux  qui vous gênera…  Et quelle ne fut pas ma surprise de voir mes jambes s’envoler littéralement aux environs de 130 km/h tant leur prise au vent est conséquente, les pieds ainsi en avant ! Il faut alors contrer la résistance de l’air comme sur un rameur d’appartement… Pénible, d’autant que les abdos sont déjà mis à contribution pour rester arc-bouter aux poignées. Il est écrit « moto à la position athlétique » sur son dossier de presse, et ce n’est pas faux… Avis aux amateurs, cette prêtresse de la beauté ne fera pas de cadeau aux profanes. Elle réclame un corps à corps viril avant de se livrer à vous. Jeunes permis s’abstenir.

  Bref, cette ténébreuse FXDR 114 se mérite. Elle se vit. Son pilotage est un engagement. Un art de vivre, ou plutôt un art de se vivre au monde. Enivrante, lascive, sulfureuse, d’une beauté du diable, cette moto attise nos pulsions animales, et elle sait y répondre. La tentatrice brûle les yeux et le cœur de celui qui s’en empare. Une vraie réussite dynamique, une révolution esthétique associée à un moteur puncheur ! What else ?

  Il est douloureux de la ramener à la concession car on aimerait bien continuer cette ballade des gens heureux. Alors c’est le cœur plein d’espoir que l’on demande au marchand combien coûte ce huitième péché capital… mais hélas du capital, il en faudra pour conquérir la Belle.  24 700 euros pour la version la plus dénudée… C’est trop. C’est beaucoup trop. Presque indécent. La diablesse s’habille en Prada… Même le kit passager est une option payante. Louis Vuitton disait que ses sacs n’étaient pas chers, « simplement ils ont un coût »... Ici, c’est un coup bas qui laissera sur le carreau bien des prétendants.

   « Et alors ? » répond crânement cette déesse noire, avant d’ajouter, sereine, parodiant Cyrano :  
« Je sais bien qu'à la fin vous me mettrez à bas,
Mais il y a malgré vous quelque chose que j'emporte,
Et c’est… mon Panache ! ».

Ce que l’on sait d’elle….

·        Puissance : 91 ch à 4 500 tr/min
·        Couple maxi : 160 Nm à 3 500 tr/min
·        Poids : 303 kgrs (tout plein fait)
·        Réservoir : 16,7 litres (conso 5,4 l/100 kms)
·        Cylindrée : 1 868 cm3
·        Architecture moteur : bicylindre en V à 45 degrés
·        Boîte de vitesse : 6 rapports

de la belle prose de journaliste qu'on lit avec plaisir...
je pense que cela décrit bien les sensations que l'on doit avoir sur cette machine, non ?

Absolument ! Tu as tout dit !
C'est la raison pour laquelle j'ai copié-collé son article : il ne se contente pas de reprendre les lieux communs repris en boucle, souvent par des gens qui n'ont pas trop de référence. Il décrit simplement son essai.

Et oui, il est très très proche de la réalité.
D'ailleurs, au 3 ème essai, j'ai su que je ne pourrais plus la rapporter à la concess. 

ThunderBike lance une évo de sa prépa, GT-One, dédiée à Gran Turismo.
Toujours avec son spectaculaire mono-bras AR, mais surtout une roue AV de 23 pouces. Ils ont entièrement développé un T de fourche totalement nouveau pour ça.



















 
Avec la blonde le shooting :

Et puis ce qu'il y a de bien c'est que çe n'est pas très cher... 

Tu pourrais au moins monter cet échappement qui est magnifique ! 

Magnifique préparation avec de bien jolie piéces ...

Les liens ont merdé...!
Je corrige ce soir

boris-jc a écrit:ThunderBike lance une évo de sa prépa, GT-One, dédiée à Gran Turismo.
Toujours avec son spectaculaire mono-bras AR, mais surtout une roue AV de 23 pouces. Ils ont entièrement développé un T de fourche totalement nouveau pour ça.




















 
Avec la blonde le shooting :

Et voilà !

J'en profite pour souligner le disque de frein périmétrique à l'arrière : un ensemble qui tape bien, je trouve !!

Le lien direct, avec davantage de belles photos : https://www.thunderbike.com/custombikes/gt-one/?tax=schlagwort

Ouais, y'a de belles pièces.

Mais franchement, ils manquent vraiment d'imagination chez Thunderbike.
Ca fait 5 ans qu'ils nous sortent les mêmes bécanes que ce soit sur base de BO, de DR et même de Fat Boy. Pur style allemand, kolossale finesse.

Finalement je trouve presque que le design du FXDR a plus de caractère stock.